
éloges
"Portrait of a Lady" concerts Allemagne
“ Une soirée que vous n'oublierez pas de sitôt ! ‘Lover Man’, ‘Lady Sings the Blues’, ‘All of me’ - elle étale les titres comme des perles tout aussi chatoyantes devant son public. Marijke Jaehrling interprète les titres célèbres et aussi les moins connus tantôt cool, tantôt provocants ou avec passion, comme le succès mondial de Billie Holiday à partir de 1939 "Strange Fruit" , faisant preuve une fois de plus de sa respectable gamme vocale " Starkenburger Echo, Sigrid JAHN
"Marijke Jaehrling n'offre pas seulement sa voix mais aussi son âme aux grands numeros classiques comme" That Ole Devil Called Love "ou" Them There Eyes" Elle donne vie à la fois aux ballades mélancoliques et à des numéros plus vives, grâce à sa grande voix et à ses compétences d'actrice" Rhein-Main -Spitze, Sergio PRESTA
" vocalement et musicalement une réussite mature, accompagné par ce trio de jazz qui, avec beaucoup de sensibilité, y ajoute le grain de swing nécessaire " Radio HR2, Martin GRUNENBERG
" Une célébration grandiose de mélancholie " Main Écho, Jan STICH
« Marijke Jährling chante de manière inimitable, avec beaucoup d'émotion et de sensibilité, tantôt fragile, tantôt lascive, cool, décontracté ou avec du vibrato..." Jazzpages, Klaus MÜMPFER
"Spheres of Monk" 2017 Dot Time Records, New York
„Sounds great, Lady. Excellence!“
Thelonious MONK III, fils de la légende
"Magnifique. Elle a le talent pour t des arrangements originaux , une perspective particulière. Le fait qu'elle ajoute des paroles aux morceaux est un autre point fort de cet album composé avec amour.“
Jazzthing, Fev 2018
"Marijke Jaehrling chante les lignes mélodiques assez compliquées avec une évidence décontractée. Elle abat l'oiseau de l'originalité"
Jazzthetic, Jan 2018
"Le concept de l'artiste a un statut absolument exceptionnel dans le monde du jazz. S'approche des compositions pour piano très complexes du titan du jazz de telle sorte qu'il en résultent des arrangements sophistiqués pour voix, piano, contrebasse, batterie et saxophone/clarinette, qui dans les moindres détails témoignent du savoir-faire exceptionnel de Marijke Jaehrling, qui a en outre écrit ses propres textes pour plusieurs des chansons, également en allemand et même en français. La voix extrêmement agile de Jaehrling, une voix riche et variée, possède de e la douce chaleur dans les graves et d'une maturité souveraine du médium et aux aigus d'une lég`reteé de jeune fille. Elle dispose d'une agilité naturelle qu'elle a présentée avec brio dans les scats et les vocalises ainsi que dans les tessitures extrêmes des morceaux de Monk.
Wormser Zeitung, Viktoria SELBERT
„C'est assez extraordinaire“ Radio HR2, Jazz Now, Günther HOTTMAN
« On dit de Monk qu'il avait un sens infaillible pour jouer ce qu'il fallait au bon moment. Marijke Jährling a réussi à transposer le vocabulaire musical de Monk dans un quintette moderne, ce qui est tout à fait audacieux. Applaudissements enthousiastes dans une sall comble.“
Darmstädter Echo, Ulfert GOEMAN
« Une expérience captivante avec des arrangements passionnants » Allgemeine Zeitung, Bettina BERGSTEDT
"Bonjour Liberté" 2024 ACEL, Paris
"Un album touchant à tous égards !"
Michael VAN GEE, Radio Dreyeckland
“C'est vraiment très, très bon ! C'est un super arrangement, c'est bien enregistré. Ça me donne la chair de poule !" Alf HAUBITZ, Radio Hessischer Rundfunk
“Soutenue par l'esprit élastique et swinguant du combo de cinq musiciens, la chanteuse allemande-néerlandaise Marijke Jaehrling en a fait sienne d’une douzaine d'oeuvres
de Kurt Tucholsky et de Kurt Weill, changeant habilement entre chanson jazz et cabaret, avec beaucoup de soin et d'empathie. Marijke entonne les pièces avec une voix
sonore et sans prétention, comme signal authentique de tolérance et de liberté, sans négliger la distance critique résignée et l'ironie suffisante des deux “Kurt” . (...) La cerise sur le gâteau : la ballade finale au piano, affectueuse, calme, dédiée à Samuel Paty, le professeur qui était assassiné parce qu'il montrait des caricatures de Mahomet
en classe.” Tobias BOECKER, Jazzpodium